Le channeling est une forme naturelle de communication entre les humains et les êtres des autres dimensions tels que : les guides, les anges, les archanges, les maîtres ascensionnés, les personnes décédées, l'âme, les entités, les animaux, etc.
Lorsqu'on agit comme channel, on devient un traducteur ou un interprète, une courroie de transmission entre les dimensions.
On peut ressentir (clairsenti) ou entendre (clairaudience) ou voir (clairvoyance) le message que l'on nous transmet. Le channel reçoit une information de niveau vibratoire très élevé et la convertit par la suite en mots et, dans mon cas, en action thérapeutique.
Cette transmission est possible grâce à la glande pinéale (située dans le cerveau) qui possède chez les médiums et ceux qui pratiquent le channeling une plus grande quantité de cristaux d'apatite à même sa structure. Ces cristaux sont diamagnétiques, c'est-à-dire qu'ils sont capables de capter un champ magnétique lorsqu'ils sont exposés à un champ magnétique extérieur environnant. Comme le corps génère lui même son propre champ, il devient donc essentiel d'avoir une glande pinéale activée et fonctionnelle, car c'est par son intermédiaire que nous avons accès aux autres dimensions (voir section sur la glande pinéale).
Mon expertise se situe au niveau du corps physique dans toutes ses expressions et de toutes ses dimensions. En effet, à partir d'un malaise, d'une douleur, de l'endroit où elle s'exprime, j'entre en communication et je peux faire une lecture énergétique du dépôt mémoriel de cette région. Soit en ayant la révélation d'une situation non réglée dans une autre vie, soit par une cristallisation d'un ressenti non exprimé dans cette vie-ci, les possibilités sont infinies.
Parfois, l'âme agit directement sur le corps en communiquant avec lui par l'intermédiaire de ses souffrances, ce peut être des implants (épées, dagues, balle de fusil, etc.) ou des engrammes laissés dans les corps énergétiques qui donnent aujourd'hui les symptômes physiques chroniques qui ne partent pas... (voir section sur les implants) Elle nous transmet, dans sa sagesse, le message des schémas ou situations que nous avons à régler et que nous devons comprendre et accepter dans l'amour pour notre plus grand bien.
Mon expérience en channeling remonte très tôt dans mon enfance. En fait, j'ai toujours été capable, sans le savoir, de faire une lecture des gens qui m'entourent et d'avoir des impressions et intuitions de ce qu'ils vivaient.
Je n'étais pas complètement amnésique à mon arrivée sur Terre et je possède des souvenirs très lointains où j'ai œuvré comme guérisseuse.
Je me souviens, entre autres, d'existences comme guérisseuse en Atlantide et en Égypte.
Celle de l'Atlantide me touche encore profondément. Je vivais dans un temple creusé à même la roche, comme une grotte dans laquelle l'éclairage de couleur verte émeraude était diffusé par des sphères sonores qui flottaient partout dans les airs et qui nous suivaient sans qu'on leur demande. Cette luminosité agissait sur nos corps de lumière ce qui fait qu'ainsi, lorsque nous changions de salle souterraine, les sphères de différentes couleurs rechargeaient automatiquement nos auras selon nos besoins. L’ambiance était très chaleureuse et un état de paix et de sécurité existait en ces lieux. Une des salles de ces grottes souterraines était magique et elle était ma favorite. Toutes les parois de ses murs et du plafond étaient incrustées de pierres précieuses, de quartz et de cristaux qui irradiaient des couleurs mirifiques et diffusaient une couleur lumineuse d'une teinte et d'une intensité différentes qui s'accordaient à chaque personne qui y venait.
Une table de quartz rose, d'améthyste et d'émeraude trônait en plein centre sous un vortex énergétique très puissant. Le taux vibratoire élevé de ce lieu permettait que l'on puisse se régénérer et entrer en communication avec notre communauté galactique, car tous les champs énergétiques y étaient alignés. Ce vortex nous permettait d'établir une communication avec les fraternités des Pléiades, d'Orion, de Sirius, d'Andromède et d'Arcturus. J'allais m'y ressourcer régulièrement. J'adorais cet endroit. Ce vortex était parfaitement aligné au Grand soleil central et je recevais alors ses fréquences bienfaisantes.
En ces temps, je pratiquais la lecture des inclusions dans les quartz afin d'aider les membres de ma communauté lorsqu'ils venaient me consulter pour divers problèmes de santé ou au sujet de leur vie personnelle. Les informations étaient téléchargées dans des tables de quartz au lieu des livres, dossiers médicaux et ordinateurs que l'on utilise aujourd'hui. Elles pouvaient contenir une énorme quantité d'informations et elles constituaient nos bibliothèques. Ces inclusions pouvaient être reprogrammées si je voulais y modifier l'information. Je pouvais également aller y chercher des informations en provenance de partout dans l'Univers, ce qui nous permettait d'être en contact avec la sagesse universelle.
Lorsqu'un des membres de ma communauté désirait une séance de guérison, nous entrions dans cette salle que l'on nommait à l'époque le temple de la résurrection. Au préalable, cette personne devait passer par la salle des ablutions située dans une grotte qui possédait un lac intérieur d'une beauté et d'une intensité majestueuses. Elle devait s'y baigner afin de préparer son corps et son esprit à la séance de guérison. Cette eau avait la propriété de rendre fluide tous les courants énergétiques du corps facilitant ainsi la lecture de ce dernier.
La personne était donc invitée à entrer dans le temple de la résurrection et à s'allonger sur la table centrale. Les sphères lumineuses attirées par l'aura qu'émanait le corps se disposaient afin de former un vortex de protection. Seulement à ce moment, je pouvais entrer dans l'espace énergétique de cette personne. Les sphères émanaient une douce et chaleureuse lumière ainsi qu'une musique apaisante.
La lecture débutait et, par ma vision projetée et mon clairsenti, je pouvais détecter l'endroit du problème. En collaboration avec les sphères lumineuses qui entamaient à ce moment des fréquences vibratoires puissantes, je balayais du champ énergétique toutes les formes de cristallisations, de stagnations, d'implants, de scories, etc.
J'avais, à l'occasion, à effectuer des chirurgies dans les champs énergétiques ou même dans le corps. Je n'avais aucunement besoin d'outils, tout se faisait avec les mains et les sons émis par les sphères et les quartz nous entourant dans cette grotte merveilleuse, si bien qu'il n'y avait aucun épanchement ou trace de sang et le corps ne portait aucune cicatrice, car le lieu chirurgical avait été complètement régénéré par la collaboration des fréquences émises par les sons, les quartz et mes mains, et ce, de façon simultanée.
Chacune des personnes venant me consulter possédait un dossier de sa santé et de son processus de vie. Lorsque la séance était terminée, tout le progrès, ainsi que les changements y étaient annotés en étant téléchargés dans les inclusions des tables de quartz. La guérison était réelle, car tout ce qui avait été transmuté durant la séance demeurait par la suite.
Le souvenir de ma vie antérieure en Égypte me rappela aussi les dons de guérison que je possédais et qui persiste encore aujourd'hui. Je n'ai pas toujours été guérisseuse, mais j'avoue que les vies où j'agissais en tant que telle ont été les plus intéressantes et intenses. Certaines, par contre, furent des plus violentes dues à la ségrégation que les femmes chamanes et guérisseuses subissaient durant certaines époques. Celles où j'ai pratiqué l'alchimie et la guérison en étant incarnée dans un corps d'homme ont été beaucoup plus aisées. J'ai heureusement gardé tout le savoir inscrit dans ma conscience et mes corps cristallins afin de pouvoir en faire bénéficier tous les gens que je traite aujourd'hui.
Revenons à mon rôle de prêtresse guérisseuse en Égypte. J'adorais la façon de prodiguer les soins.
Cela se faisait avec l'aide des pierres précieuses et cristaux de l'époque que l'on trouvait autour du temple du pharaon dans la vallée du Nil. Les plus communs étaient l'or, l'argent, la malachite, le lapis-lazuli, l'améthyste pour ne nommer que ceux-là. D'ailleurs, le pharaon en portait constamment en ornements et cela lui servait surtout à se préserver des mauvaises influences, des énergies et pensées négatives que certains pouvaient entretenir à son égard. Moi-même, je portais des bijoux ornementés aux mains et j'avais un magnifique plastron qui me servait de protection et qui était incrusté du oudjat, l’Oeil d'Horus. Ce dernier avait une fonction magique qui me permettait de lire dans l'invisible et d'éloigner les mauvaises influences et il était un symbole et un rappel de la merveilleuse connexion que j'avais avec la glande pinéale. À cette époque, les initiés étaient au courant de l'existence de cette glande et ils l'utilisaient pour ses capacités de communications extrasensorielles. Ce plastron associé au troisième œil produisait une lumière en éventail qui se projetait devant moi et cette lumière ressortait de la même façon par mes mains. Celle-ci n'était pas visible au non-initiés de l'époque, mais elle était d'une grande utilité la nuit, car en mettant mes mains devant moi, je pouvais éclairer mon chemin.
De plus, elle me permettait de percevoir les entités de basses vibrations faisant partie du bas astral qui viennent souvent hanter la nuit et tenter certaines interventions sur les gens durant leur sommeil, lorsque la garde est baissée. Ma fonction prenait place autant de jour que de nuit. Cette lumière me protégeait aussi durant mes interventions contre tout ce qui pouvait amoindrir mes dons et forces. Être prêtresse d'un pharaon et du même coup au service de ses acolytes, collaborateurs et gardiens n'était pas une mince tâche. Beaucoup enviaient mon statut et me portaient des intentions qui n'étaient pas toujours nobles.
D'ailleurs, le pharaon portait lui aussi sur sa coiffe des symboles protecteurs tels que l'Uræus, le symbole du cobra femelle en guise de protection contre les ennemis et qui était relié au Dieu solaire et au Grand soleil central.
La couleur des pierres et métaux précieux utilisés variait en fonction des besoins et des soins prodigués. Nous devions parfois nous approvisionner de certaines pierres que nous faisions venir de contrées lointaines, car celles que nous avions ne suffisaient pas à la tâche.
Certaines pierres ou couleurs émettaient des fréquences plus ou moins élevées. Le choix se faisait par la lecture de l'aura et du taux vibratoire perçus et ressentis à l'endroit malade.
Je pouvais, par exemple, utiliser une pierre de couleur jaune pour apaiser le plexus solaire et le système nerveux. Tandis que le bleu cobalt du lapis-lazuli m'aidait à faire une lecture divinatoire dans l'invisible afin de guider la personne dans ses interrogations existentielles. Le rayon émanant de l'or que j'utilisais également était mon choix de prédilection, car il était d'une telle puissance qu'il permettait de guérir instantanément toutes sortes de plaies, fractures, lésions internes, inflammations, etc. Nul besoin de chirurgies ou d'interventions nécessitant l'ouverture du corps.
Pour ce faire, il fallait que j'ingurgite une potion à base d'oligoéléments qui contenait de l'or, du cuivre et du zinc. Ceci me permettait d'augmenter mes capacités cérébrales et de défenses durant mes interventions ainsi que la puissance d'émanation énergétique de mes mains.
Le pharaon faisait souvent appel aux prêtres et prêtresses pour diverses raisons. Nous avions tous nos forces distinctives et il n'hésitait pas à nous convoquer pour une séance lorsque le besoin se faisait sentir. À l'époque, j'étais très forte dans la lecture de l'aura qui émanait des gens (d'ailleurs le mot « or » dérive du latin aurum). Je pouvais détecter une présence malsaine, un organe malade, une cristallisation en provenance d'une énergie bloquée d'une vie antérieure, de situations de vie non résolues qui conduit à une stagnation des fluides et liquides corporels ainsi que des lignes d'énergies. Les gens appréciaient mes dons et souvent nous agissions à plusieurs sur des cas plus complexes qui demandaient notre synergie afin d'activer le processus de guérison.
J'étais unie à un prêtre dont j'étais profondément amoureuse et avec lequel je travaillais souvent. Nous partagions une connexion très spéciale et communiquions beaucoup par l'intermédiaire des plans intérieurs, que ce soit par des rêves ou par la télépathie. La nuit, dans certains de mes rêves, il venait me contacter et approchait son front du mien comme s'il y apposait son troisième œil et il se produisait alors un échange très intense. C'était comme si nos corps et systèmes énergétiques revenaient au point zéro. Une vague d'amour céleste nous traversait et chacune de nos cellules étaient automatiquement rechargées et redimensionnées.
Au réveil, nous n'avions nul besoin de partager verbalement ce qui venait de se produire, nous savions... Je remarquais qu'après ces remises à zéro, mes dons et lectures en guérison étaient augmentés et plus précis. Lors d'un rituel à l'occasion du solstice d'été, nous avions échangé une amulette-poisson afin de signifier notre union, une union par contre qui n'était pas exclusive.
Nous étions dans une conscience d'ouverture et de liberté qui nous laissait la possibilité d'explorer notre niveau relationnel intérieur avec les personnes de notre choix et dans le plus grand respect.
Nous avons œuvré plusieurs vies ensemble et la plupart dans les domaines de guérison et d'ouverture de conscience.
Je servis le pharaon jusqu'à sa mort et je fus, par la suite au service du peuple.
Un autre souvenir qui m'a profondément troublée et ravie à la fois lorsqu'il est remonté à ma conscience est celui où j'étais en train de nager sous l'eau et que j'y respirais librement. Je sentais l'oxygène contenu dans l'eau qui entrait par mes branchies, phénomène très bizarre étant donné que je nageais avec un corps humain et que j'avais des poumons! J'étais parfaitement à l'aise et j'avais un sentiment de puissance, car sous l'eau mon déplacement était grandement facilité et harmonieux. Je n'ai jamais ressenti une telle sensation de liberté... tout en étant dans un corps physique. Ce souvenir a, bien sûr, fait resurgir mon allégeance aux cétacés célestes, ma famille que j'aime tant!
Enfin, le dernier fut un voyage intergalactique auquel j'ai participé. Je prenais place dans un vaisseau spatial en forme de Zeppelin qui était totalement transparent. En fait, je percevais une structure autour de moi, mais elle n'était pas solide. Elle se composait de lignes d'énergies transversales, horizontales et verticales, multicolores et qui changeaient de couleur et d'intensité selon la vitesse à laquelle nous avancions. C'était comme si une trame était tissée autour de nous. Les couleurs étaient très variées et j'ai pu en observer qui n'existaient pas sur Terre. Les couleurs étaient produites par le « frottement » du canevas de la structure avec l’antimatière qui compose l'Univers. Elles étaient « vivantes », brillantes et réagissaient aussi avec les interactions des pensées échangées par les passagers du Zeppelin.
Nous pouvions voir dans l'espace nous entourant. Les passagers du vaisseau étaient des plus étranges. À ma connaissance, je n'avais jamais vu d'êtres aussi variés dans leur forme physique. Certains étaient debout, d'autres assis, et j'en ai vu qui flottaient doucement dans le vaisseau. Ils n'étaient pas hostiles, au contraire, mais je n'avais pas nécessairement le désir de les approcher. J'étais bien plus captivée par le spectacle qui s'offrait à ma vue étant donné que je pouvais admirer le cosmos lors de la traversée interstellaire, que par les gens présents dans le vaisseau.
Nous avancions sans moteur. C'était la puissance de notre intention et du choix de notre destination qui entraînait notre véhicule. Je me rendais compte que le vaisseau se déplaçait selon mon désir. Si je voulais suspendre l'instant pour admirer les abords d'une planète et en admirer les vapeurs iridescentes qui l'entouraient, celui-ci ralentissait et s'immobilisait. Autrement, comme j'adore la vitesse, aussitôt que je manifestais le désir d'entrer dans un passage spatio-temporel (trou noir), hop!, je me retrouvais à l'intérieur du tunnel avançant ou reculant à une vélocité indescriptible et me retrouvant dans un secteur de l'Univers tout nouveau, satisfaisant ainsi ma curiosité.
C'était si étrange de pouvoir décider sans que cela altère le désir des autres passagers.
Eux aussi pouvaient manifester leurs choix sans déranger mes plans. C'est comme si le vaisseau se démultipliait pour répondre à toutes les demandes de ses passagers, même si nous étions tous à bord en même temps! La sensation était des plus étranges et dérangeantes...
Nous avons tous parcouru plusieurs vies et les intuitifs peuvent donner accès à l'information en faisant une lecture précise et pertinente afin de favoriser une prise de conscience, de permettre une compréhension des « patterns » et, ultimement, de favoriser la libération et la dissolution en permettant un changement perceptuel.